Retrouvez ici l'ensemble des numéros spéciaux annuels de nos Brèves Nutrition. Ces derniers sont constitués de résumés d'articles scientifiques autour d'une thématique choisie en lien avec la nutrition.
2024 - Activité physique et nutrition
L’activité physique aura décidément marquée l’année 2024 des Français ! D’abord, bien sûr, à travers les Jeux Olympiques et Paralympiques,
qui ont fait vibrer des millions de spectateurs tout au long de l’été.
Mettant à profit l’élan suscité par l’évènement, le Président de la
République a par ailleurs souhaité faire de la promotion de l’activité physique et sportive la Grande Cause Nationale de l’année. Dans ce contexte, nous avons voulu faire le tour des questions actuelles en la matière avec un numéro spécial à la croisée des constats, enjeux et connaissances scientifiques actuelles sur l’activité physique...
Voir le numéro spécial
2023 - Manger avec ses 5 sens
A l'occasion de la création de l’Observatoire des comportements et des goûts sucrés par Cultures Sucre en 2022, le département scientifique a voulu dédier le numéro spécial de l’année à la sensorialité.
Les articles ont été sélectionnés au sein d’une littérature
scientifique très riche et permettent d’apporter des éclairages
innovants avec une vision à 360° considérant l'ensemble des saveurs, des sens, des profils de mangeurs et des stimuli environnementaux...
Voir le numéro spécial
2022 - Alimentation des seniors
En France, les personnes de plus de 65 ans représente 20 % de la
population ; une proportion qui devrait poursuivre sa progression
pour dépasser le quart des habitants en 2040. Un rapport de l’Anses confirme que l’alimentation, associée à l’activité physique, est un déterminant majeur de la santé et du bien vieillir
et qu’au regard de la diminution des besoins énergétiques au repos avec
l’âge, il est préconisé de maintenir les quantités habituellement
consommées tout en augmentant légèrement l’activité physique...
Voir le numéro spécial
2021 - La chrononutrition
La chrononutrition est une thématique très en vogue, avec un nombre de
publications impressionnant ces deux dernières années. De plus en plus,
une médecine adaptée à chacun est revendiquée par les sociétés savantes
et, dans ce contexte, une alimentation personnalisée est plus que jamais
préconisée. Mais à quelle heure faut-il manger ? Quels glucides prendre
le matin ou le soir ? Comment prendre en compte l’horloge biologique
propre à chacun ? Pour qui un jeûne thérapeutique ou un jeûne
intermittent est-il souhaitable ? Comment aider les travailleurs de nuit
? Autant de questions que se posent les nutritionnistes pour aider
leurs patients, eux même informés de façon parfois cacophonique dans les
médias et les réseaux sociaux...
Voir le numéro spécial
2020 - Le diabète
D’un point de vue quantitatif, les régimes alimentaires pauvres (voire très pauvres) en glucides, appelés régimes Low Carb,
ont fait leur apparition dans la prévention et la prise en charge du
diabète. Dans les deux cas ces diètes ne font pas encore consensus.
Les méta-analyses montrent des bénéfices à court terme, sous certaines
conditions et sur des terrains prédisposés pour la prévention et dans
l’amélioration de l’équilibre glycémique. Cependant, certaines revues de
la littérature s’interrogent sur la faisabilité de ce type
d’alimentation (parfois très faible en glucides), d’autres pointent la
question de l’adhésion et de l’efficacité à plus long terme, quand
d’autres encore s’interrogent sur le risque cardiovasculaire dû à
l’augmentation inévitable du pourcentage de graisses consommées...
Voir le numéro spécial
2019 - Sucres et caries
Encore aujourd’hui considérée comme un fléau mondial par l’OMS, la
carie dentaire et sa prévention sont à la base des recommandations
d’apports en sucres établies avec un seuil chiffré à moins de 10% des
apports caloriques dès 1989. Ces recommandations ont été réévaluées en
2003 puis en 2015. Elles ont été par ailleurs élargies à la prévention
de maladies chroniques non transmissibles comme le diabète, l’obésité,
les maladies cardiovasculaires ou métaboliques.En 2015, l’OMS recommande de limiter l’apport en sucres libres à
moins de 10 % de l’apport énergétique total (recommandation forte). Elle
ajoute une recommandation « conditionnelle » d’abaisser ce seuil de
10 % à 5 % pour « des bénéfices santé additionnels », visant en
particulier une meilleure prévention des caries dentaires dans les pays à
faible niveau de revenus...
Voir le numéro spécial
2018 - Comportement alimentaire
Le comportement alimentaire est une conduite complexe qui comporte de
nombreux déterminants psychosociaux d’ordres à la fois individuel
(neurobiologiques, psychopathologiques) mais aussi collectif (familiaux
et culturels). Tantôt positifs (incitatifs ou stimulateurs) ou négatifs
(inhibiteurs ou répressifs), de nombreux facteurs modulent la prise
alimentaire. Nous avons voulu pour ce numéro spécial des Brèves du Sucre
vous proposer une sélection d’articles récents qui explorent les
facteurs non nutritionnels pouvant modifier le comportement alimentaire
et de fait la consommation. Par exemple, les messages sanitaires et la
perception des aliments comme sains ou denses en énergie peuvent de
façon contre-intuitive modifier la consommation chez les individus
exposés...
Voir le numéro spécial
2017 - L'addiction
La banalisation du concept d’addiction aux aliments apparait largement simplificatrice d’une réalité complexe. Certains parlent d’aliments addictifs, d’autres préfèrent parler
d’addiction comportementale chez les mangeurs en excès. Nous verrons que
ce n’est pas si simple !! La nouvelle version du DSM, le DSM V, redéfinit l’addiction ; et l’échelle YFAS adapte ces critères à l’alimentation, dont l’utilisation fait l’objet d’un débat scientifique. La littérature scientifique est très abondante. Nous avons essayé de
faire dans ces brèves une sélection d’articles de ces dernières années. À
la Une, l’article du Professeur Rogers permettra aux lecteurs de se
familiariser avec les concepts, les débats et l’avancée de la recherche
aussi bien chez l’animal que chez l’homme...
Voir le numéro spécial